Pour  "Le souffle de Dionysos"  le Trio "Belle Epoque" a nuancé les colères du Dieu...

 

Chers Amis,

 

Il y a dix belles années, j'avais écrit sur mon site du "cercle esthétique et philosophique wildien", un article sur trois auteurs et interprètes italiens de musique classique. Ils m'avaient bouleversé sans que j'en comprenne la raison.

Violoncello : Marco Pescosolido. Pianoforte : Maria Rosaria Napolitano. Autore del brano : Maestro : Emilio Pescosolido

Je ne veux toujours pas rationaliser une émotion, parce qu'il est difficile d'imaginer les réalités tant elles sont plus difficiles à conçevoir que les rêves. 

Et puis, plusieurs pièces se sont enchaînées sous ma plume en toute tranquilité...Ce qui est insolent.

Il a fallu toute la fougue de Dionysos pour que ces musiciens d'envergure reprennent contact avec moi.

 

Ils annoncent au troisième acte, le souffle de ce Dieu ardent. Et il a fallu leur inspiration judicieuse tout le long des monologues de Tristan. Pourquoi "judicieuse" ? Parce qu'ils ont compris très vite que pour porter la rage, l'espoir, et les colères d'un homme désespéré, il fallait un air tout en nuances qui tempère le dialogue houleux, pour provoquer un paradoxe : retrouver l'espoir et la joie au final.

 

Ainsi j'ai retrouvé le "Trio Belle Epoque" comme dans un rêve réalisé enfin...

Et je ne veux plus les quitter désormais.

 

www.triobellepoque.com